caillou non identifié
solal2 particularité : les coups entassés, les cieux brisés. les cicatrices qui sont restées. bricolages : les vagues, l'eau dans la figure. la planche de surfer. hégire : 22 chaumière : un coin paumé, que personne peut trouver. je me sens : euphorique, j'dessine avec de l'acrylique. appels à l'aide : 52 diapositive : la tronche : lucky blue; @ice and fire. débarquement : 02/01/2018 poèmes : ma pauvre muse, hélas ! qu'as-tu donc ce matin ?
tes yeux creux sont peuplés de visions nocturnes,
et je vois tour à tour réfléchis sur ton teint
la folie et l'horreur, froides et taciturnes.
(baudelaire)
| Mer 3 Jan - 22:18 |
| solal, il est pas vraiment habitué à ce qu'on lui dise tu sais, tu devrais peut-être consulter. pas normal, et absolument pas banal, c'est pas original. on lui a dire d'aller voir un certain saruman, il ne le connaît pas c'est embêtant. alors, il erre dans sainte-pélagie et il se rend compte que finalement, c'est pas si joli il n'aime pas être dans les terres, solal, il préfère la mer. il préfère le sable aux habitants, parler à des gens c'est bien trop contraignant. ils appellent ça asociabilité, solal il préfère appeler ça préserver sa dignité. il arrive à l'endroit indiqué, il est un peu bloqué mais surtout gêné, le blond finit enfin par toquer.
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caillou non identifié
Saruman particularité : larme facile, stock de mouchoir inépuisable bricolages : psychologue hégire : 26 chaumière : la maison mauve et bavarde sur la coline je me sens : sourire appels à l'aide : 15 diapositive : la tronche : ghostemane/moi débarquement : 03/01/2018 | Mer 3 Jan - 22:45 |
| Jean-Paul Sartre joue avec Karl Marx. Le chat noir et blanc donne de petits coup de pattes à son collègue borgne qui feule. Jean-Paul n'est pas d'humeur joueuse aujourd'hui.
Les chats nous ressemblent tellement avec leur fierté stupide qui les empêche souvent d'aller vers l'autre. Aujourd'hui le vent m'apporte un grand chat sans poils et sur deux pattes. Solal, il s'appelle, il a déjà son dossier à son nom sur mon bureau. Une chemise en carton pourpre, comme sa fougue. Souvent je connais les gens avant qu'ils viennent me voir, l'île n'est pas si grande. Lui c'est différent, il ne parle pas.
Enfin il toque. Je me lève et marche à pas felins ouvre la porte sourire matin.
Bonjour Solal, aujourd'hui parle-moi des étoiles. |
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